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Uninvited

Uninvited: Canadian Women Artists in the Modern Moment is a major exhibition of Canadian women artists that coincides with, and offers commentary on, the centenary celebration of the Group of Seven.

Margaux Williamson: Interiors

While women artists of the early twentieth century were known for depicting interior spaces as places of privacy and domestic quietude, Toronto artist Margaux Williamson’s (b. 1976) interiors reveal spaces of creativity, subjectivity, and a kind of anarchic experimentation.

Brenda Draney

Brenda Draney’s paintings, with their gestural mark making and wide expanses of canvas, present fragmented narratives that stem from her personal history as a Cree woman, living in northern Alberta.

John Hartman: Many Lives Mark This Place

In 2014, Ontario-based painter and printmaker John Hartman (b. 1950) embarked on a project to capture the intimate relationship between more than thirty leading Canadian authors and the places that inspire them.

Walter J. Phillips: At the Lake

This special presentation of works on paper by the Canadian painter and printmaker Walter J. Phillips (1884– 1963) explores the artist’s artistic response to Ontario’s Lake of the Woods region.

Tom Thomson

Tom Thomson is often wrongly assumed to have been a member of the Group of Seven. He almost certainly would have been had he not died too soon.

LIONEL LEMOINE FITZGERALD: VERS LA LUMIÈRE

Into the Light: Lionel LeMoine FitzGerald is a comprehensive examination of the accomplishments and legacy of the Winnipeg artist Lionel LeMoine FitzGerald (1890–1956), the last member to join the Group of Seven in 1932.

Robert Houle: Histoires

This exhibition presents a selection of works by the leading Saulteaux artist Robert Houle who grew up in Sandy Bay First Nation on the western shore of Lake Manitoba.

STEPHEN ANDREWS : IMAGES DE GUERRE

Présentée en marge de l’exposition consacrée à David Milne et du centenaire de l’armistice, cette exposition s’articule autour des images de guerre et de prisonniers de guerre de Stephen Andrews et explore notre perception de la guerre à travers ses images. Les œuvres d’Andrews, pour la plupart des dessins à la mine de plomb, interprètent avec finesse les omissions et les interprétations erronées des images de guerre. Une large part de l’exposition est consacrée aux œuvres de 2003 à 2006, qui traitent surtout de la guerre en Irak. Un autre volet présente ses œuvres les plus récentes qui portent sur la crête de Vimy. À l’instar de Milne, dont il est un fervent admirateur, Andrews s’intéresse aux conséquences de la guerre.

DAVID MILNE : UNE PEINTURE MODERNE

Témoignage éloquent d’une carrière qui s’étend sur la première moitié du 20e siècle, l’exposition réunit plus de 90 peintures à l’huile et aquarelles, des photographies et des dessins montrés pour la première fois, ainsi que des objets ramenés d’Europe où Milne était artiste de guerre. « C’est un artiste moderne qui vit dans la mémoire collective et l’un des secrets les mieux gardés du Canada. » – Sarah Milroy, co-commissaire de l’exposition.

J.E.H. MACDONALD : EN DÉTAIL

Le McMichael célèbre l’art et la science de J.E.H. MacDonald. La restauratrice Alison Douglas partage les résultats d’une analyse scientifique menée par l’Institut canadien de conservation visant à identifier les matériaux et documenter les techniques propres aux œuvres de MacDonald. Réunissant des photographies microscopiques, l’exposition explore la démarche de l’artiste, notamment sa prédilection pour les études de petites dimensions.

Norval Morrisseau (1931-2007)

Une installation d'œuvres de Norval Morrisseau et d'artistes de l'école de Woodland de la collection permanente du McMichael.

Robert Davidson

Une installation d'œuvres sur papier de Robert Davidson de la collection permanente du McMichael.

…À L’ÉTAT BRUT

... À l’état brut aborde la résilience de la culture hip-hop, une mode qui se devait d’être « passagère ». L’exposition réunit des photos d’archives de la scène hip-hop canadienne qui tracent l’évolution de ce phénomène culturel désormais mondial.

Tukilik : L’inukshuk et l’art inuit

En inuktitut, tukilik désigne « une chose ayant une signification ». Cette exposition explore les nombreuses significations et interprétations artistiques des inuksuit (le pluriel d’inukshuk) de l’île de Baffin, y compris des dessins, estampes, sculptures et plus de soixante photographies provenant du riche fonds des Archives Norman E. Hallendy conservées au McMichael. Les inuksuit comptent parmi les structures les plus anciennes et les plus importantes jamais érigées dans l’Arctique. Les Inuits ne les considèrent pas comme des œuvres d’art. Ce sont des points de repère et tous ne sont pas à l’image d’un humain. Leurs formes et leurs fonctions sont des plus diverses. Ils servent d’aides à la chasse, de repères ou de symboles, de monuments commémoratifs, ainsi que de lieux de pouvoir et de vénération. Étant donné la nature sacrée de nombreux inuksuit, ils sont rarement représentés dans l’art inuit. Au cours de la dernière décennie, l’inukshuk s’est imposé comme symbole des Inuits, de leur terre, voire du Canada.

Ivoire, os, andouiller et corne : Chefs-d’œuvre de la sculpture inuite

Depuis des siècles, les Inuits sculptent des objets utilitaires et décorent leurs outils avec de l’ivoire, de l’os, de l’andouiller et de la corne. Au tournant du 19e siècle, ils entreprennent de produire des sculptures destinées à la vente. Ces premières œuvres sont vendues ou échangées à des Européens et des Américains venus pêcher la baleine dans l’océan Arctique. Il s’agit en général de petites œuvres en ivoire de morse : des sculptures représentant des phoques, caribous, ours polaires et oiseaux, ainsi que des scènes décrivant une chasse en kayak, des traîneaux tirés par des chiens ou l’écorchement de phoques. Ces petites œuvres sont judicieusement qualifiées de « sculptures commerciales ». La sculpture inuite contemporaine date de la fin des années 1940 et du début des années 1950. Elle est s’inscrit dans le cadre du « Projet esquimau » conçu pour favoriser l’artisanat comme source de revenu dans les communautés inuits. Grâce à la collaboration de la Compagnie de la Baie d’Hudson et au soutien financier du gouvernement du Canada, le Projet contribue au développement de nombreux métiers artisanaux dans plusieurs communautés de l’Arctique. Les petites sculptures en pierre et en ivoire connaissent un franc succès sur le marché montréalais au début des années 1950. Dans les années 1950 et 1960, la sculpture inuite s’impose comme un art à part entière sur la scène internationale.

L’art du Canada : Les choix du directeur

La sélection des œuvres logées dans les réserves de la Collection McMichael d’art canadien est née de mon désir, en tant que nouveau directeur général, de découvrir la collection rapidement et en profondeur. Monter une exposition me semblait la solution idéale.